Victoire des forces de l'Axe

La 8em campagne commencée le dimanche 11 janvier à 22h vient de s'achever le dimanche 1er février soit un peu plus de 20 jours de combat.

Lundi 12 janvier, premier jour de la campagne et déjà les forces Françaises cèdent. Avancée de 20km des Panzers Divisions qui ont pris le stratégique aérodrome de Montfaucon et la ville centrale de Flavion.

Mardi 13, le IIIem Corps Français est percé au sud, les Allemands sont à Rozoi, le centre résiste, mais Charleroi sur la Sambre est déjà tombé.

Mercredi 14 janvier, au nord en Hollande, la bataille pour Vlissingen fait rage, les belligérants font tout pour contrôler le bras de mer du Westerchelde, la Royale Navy, la Marine Française et la Kriegsmarine y envoient de nombreux destroyers mais rares sont les cargos, seuls à pouvoir transporter des blindés, qui arrivent à destination. Finalement après un combat acharné de plusieurs heures opposant presque uniquement des fantassins la base militaire de Vlissengen et son aérodrome tombent aux mains des Allemands.

Le Corps de Cavalerie Français pour sa part lance une contre-attaque d'envergure pour reprendre Charleroi. La 4em Brigade Légère Mécanisée (4LMB), le 22em Régiment de Tirailleurs Algériens (22AR) et des commandos francophones prennent part à l'attaque pendant que l'Armée de l'Air s'assure le contrôle des cieux. Malheureusement seule la base militaire nord tombe, celles du centre et du sud restant sous contrôle de l'AxE. A bout de matériel et de ravitaillement les Français reprennent leurs positions défensives le long de la Sambre aux alentours de Merbes.

Jeudi 15 et vendredi 16 janvier, en 2 jours 30km de chevauchée pour les Panzers Divisions qui ont disloqué le IIIem Corps Français au sud. Il se replie en désordre derrière la Sambre, son quartier général s'échappe de justesse et s'installe à St Quentin.
Le Corps de Cavalerie quand à lui lutte pour conserver l'aérodrome vital de Maubeuge. Mais par une série d'attaques rapides et parfaitement organisées les allemands prennent les villes de Merbes et Binches le jouxtant.
Les allemands attaquent un seul objectif à chaque fois mais en surnombre. Les troupes alliées en défenses sont insuffisantes, les efforts consenties la veille en demi-succès sur Charleroi, où le 22 Régiment de Fusilier Algériens et la 4em Brigade Légère Mécanisée avaient repris une partie de la ville, n'ont pas entamé suffisamment le potentiel offensif de l'Axe sur ce front. En attendant le retour de l'arrière de la 4LMB (relevée pour récupérer de l'attaque du 14), les troupes alliés restantes tentent de se concentrer sur la défense de Maubeuge au nord et à l'est. Mais le dispositif de défense comporte une faille, Berlaimont qui tient le sud de Maubeuge est presque laissée sans défenses et un commando allemand mène une attaque éclair qui surprends les faibles défenses submergées en quelques minutes. Berlaimont sur l'arrière de Maubeuge tombe très rapidement. L'inévitable est en marche et le vendredi Maubeuge tombe dans un bain de sang, les Panzer grenadiers ont payé un lourd tribu mais la Luftwaffe prend avec soulagement le contrôle de l'aérodrome et commence immédiatement la réparation du terrain.

Samedi 17 les défenses le long de la Sambre faute de temps pour être bien préparées cèdent et les Allemands atteignent l'Escaut facilement.

Dimanche 18 et lundi 19, bonne résistance des Français le long de l'Escaut mais une tête de pont est établie à Douai. Mais la Force Expéditionnaire Britannique va mal, malgré une résistance féroce depuis le début de la campagne, le lundi marque le début de l'effondrement du front anglais.

Mardi 20 et mercredi 21, le front britannique est percé et n'arrive plus à contenir les assauts ennemis, les brigades anglaises se disloquent et s'éparpillent, les Anglais ne sont plus.

Jeudi 22, le Stuart M3A3 char américain fournit en Lend-Lease à l'Armée Française nourrit l'espoir d'une contre-attaque réussie. Le 43em et le 110em Régiments d'Infanterie, la 4em Brigade Légère Mécanisée et le 22 Régiment de Fusilier Algériens lance l'assaut sur Chuignolles et Amiens. Une longue colonne des nouveaux blindés Stuart fait mouvement et investi Chuignolles. Malheureusement les fantassins n'arrivent pas à sécuriser la ville et la couverture aérienne est insuffisante pour arrêter les Stukas. L'attaque échoue encore provoquant la perte d'un nombre important de blindés alliés. Mais contre toute attente Amiens est reprise par les Français.

Du vendredi 23 au dimanche 25 le front se stabilise, les Panzers Divisions sont épuisées. Les restes du IIIem Corps de l'Armée Française attaquent Albert et prennent la ville pendant que l'Armée de l'Air inflige de lourdes pertes à la Luftwaffe.
Villers-le-Bretonneux, Chuignolles et Corbie sont successivement perdues puis reprises par les Français. St-Pol ne peut-être tenue par les Allemands sous l'attaque écrasante des restes de la BEF et du Corps de Cavalerie réunis.

Lundi 26 janvier, Lillers au nord et Albert au sud sont prises par les Allemands. Une attaque Alliée d'envergure sur Peronne pendant toute la journée échoue car la Luftwaffe intervient en force à partir de l'aérodrome de Cambrai.

Mardi 27 janvier, Albert est repris après 2 heures de combat par le 22em Régiment de Tirailleurs Algériens, le 8em Régiment de Cavalerie et des éléments du Corps de Cavalerie venus en renfort.

Mercredi 28 janvier, les Panzers Divisions ont repris l'attaque et progressent jusqu'à Abbeville qui tombe le vendredi 30 janvier.

Samedi 31 janvier, la perte d'Abbeville et Le Crotoy marque le départ des dernières forces du Corps Expéditionnaire Britannique, qui sur ordre du Parlement sont rapatriés en Angleterre pour organiser la défense.

Les forces de l'Axe ont une fois de plus vaincues les Alliés et la France a signé l'armistice le 1er février à 1h du matin.

Merci aux membres de JOL abonnés à WW2OL sans qui se déroulement détaillé de la campagne n'aurait pu être possible : Mrjules, Lafarge, Kaal, lh2Or@n, Bebel, Caps, lob12, menfin, foxbob, lindir, Nordiste, Cocalos etc.
En espérant que les joueurs francophone coté Axe participe pour la 9em campagne au suivi du front pour que l'on puisse mettre des noms sur les unités de l'Axe.

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